Cinq journalistes ont été tués par une frappe de l’armée israélienne qui visait un hôpital. Précédemment, lorsque l’armée génocidaire avait assassiné des journalistes à Gaza, les dirigeants israéliens avaient accusé ces derniers de terrorisme.
Ce mensonge éhonté leur avait attiré les critiques du monde entier, sauf bien sûr des négationnistes tels que Enthoven ou autres islamophobes des plateaux n’ayant que le mensonge et la haine raciale et religieuse pour justifier des crimes contre l’humanité. Face à l’échec de cette stratégie de criminalisation, Netanyahou opte maintenant pour l’excuse du « tragique accident ».
Plus un mensonge est gros, plus il passe. Pour rassurer la communauté internationale, rien de tel que d’annoncer que l’armée génocidaire mène une enquête sur son PROPRE crime. Netanyahou affirme qu’Israël apprécie le travail des journalistes… et donc pour les remercier, l’État génocidaire a tué plus de 240 d’entre eux. Le boucher de Gaza affirme aussi qu’Israël apprécie le travail du personnel médical… après avoir bombardé la totalité des hôpitaux de Gaza. Le génocidaire a aussi un petit mot de compassion pour les civils pendant que son armée creuse des charniers, écrase Gaza au bulldozer, tire sur des milliers de personnes se rendant sur les zones d’aide alimentaire, et a tué des dizaines de milliers de civils.
Et ici, en France, il reste encore des négationnistes sur-représentés dans les médias pour instrumentaliser l’antisémitisme et salir la mémoire d’un peuple victime d’un génocide filmé en 4K. Et dire qu’il suffirait d’envoyer à Gaza tous les négationnistes du génocide et de la famine pour qu’ils changent d’avis. Si seulement ils pouvaient passer un mois dans la fameuse « ville humanitaire » créée par leur ami Netanyahou. S’ils ne meurent pas de faim, ils mourront de honte.
Quant à Netanyahou, il n’existe aucune punition sur cette terre qui pourrait égaler son cynisme et sa cruauté.Je veux qu’il vive assez longtemps pour voir son monde et ses idéaux s’écrouler, pour le voir sombrer dans le désespoir et tomber en disgrâce.
